Depuis que l’IA et ses applications font les beaux jours des unes de la presse (merci à la voiture autonome), ce sont également de nouvelles interrogations qui font jour.
L’IA ouvre la porte à certaine dérives. Et de nouvelles réflexions émergent autour des usages éthiques de l’IA.
C’est dans ce cadre que nous avons mené une expérimentation au sein de Suricats, en s’appuyant sur les imaginaires de la Science-Fiction, le Design Fiction.
Depuis que l’IA et ses applications font les beaux jours des unes de la presse (merci à la voiture autonome), ce sont également de nouvelles interrogations qui font jour.
L’IA ouvre la porte à certaine dérives. Et de nouvelles réflexions émergent autour des usages éthiques de l’IA.
C’est dans ce cadre que nous avons mené une expérimentation au sein de Suricats, en s’appuyant sur les imaginaires de la Science-Fiction, le Design Fiction.
Cette technique projective nous offre un moyen d’aller explorer les futurs plausibles pour les questionner, se forger des convictions sur les usages et services de demain et prendre dès aujourd’hui les orientations en accord avec nos convictions profondes.
Nous avons donc appliqué cette méthode pour nous interroger sur le développement et les usages de l’IA.
Il y a quelques mois, nous nous sommes associés à un partenaire (start-up éditant des solutions d’IA) pour monter une expérience immersive pour nos collaborateurs le temps d’une demi-journée hors du commun (si si, mais on ne peut pas vous en dire plus sans tout divulgacher).
Au travers du replay de notre talk donné au salon AI Paris en septembre 2020, nous souhaitons partager nos retours sur cette expérience vécue de Design Fiction, sur la méthodologie utilisée et échanger sur les enseignements que nous en avons tirés : usages éthiques de l’IA, peut-on tout faire, tout accepter? On vous laisse regarder le replay 🙂